Extraits du rapport (Introduction, Contexte, Conclusions et Recommandations, Annexe 1). Depuis juillet 2010, le nombre des exécutions en Iran est monté en flèche. Jusqu’à 80 % des personnes qui ont été exécutées étaient accusées d’infractions liées aux stupéfiants. Ce rapport met en lumière l’utilisation par les autorités iraniennes des exécutions comme solution fourre-tout aux maux sociaux, malgré le fait qu’il n’existe aucune preuve tangible des effets de la peine de mort sur la criminalité. Ce rapport a pour vocation d’exhorter les autorités iraniennes à cesser immédiatement d’appliquer la peine de mort pour les infractions liées à la drogue.