Le cas de l’hodjatoleslam Hassan Youssefi Echkevari, considéré comme un prisonnier d’opinion par Amnesty International, a été examiné dans le cadre d’un procès qui s’est déroulé à huis clos du 7 au 15 octobre. Aucune sentence n’a encore été prononcée à son encontre, mais il pourrait se voir condamné à la flagellation, voire à la peine capitale.