D’après la famille de Siamak Pourzand, cet homme a eu récemment une crise cardiaque et a été privé d’assistance médicale. Amnesty International craint qu’il ne soit toujours maltraité en détention et que sa vie ne soit menacée. Il a apparemment été condamné le 4 mai à une peine de huit ans d’emprisonnement, et selon des informations non confirmées, il aurait été contraint à renoncer à interjeter appel de sa condamnation.