Le 9 février, la police a effectué une descente dans les locaux du Centre El Nadeem pour la réadaptation des victimes de violences et l’a fermé. En raison des mesures de répression des autorités égyptiennes contre les organisations de défense des droits humains, dont notamment une enquête à caractère politique en cours, de nombreux défenseurs des droits humains de premier plan pourraient encourir l’emprisonnement à vie.