Mohamed Morsi et trois de ses collaborateurs ont comparu devant le tribunal le 5 novembre pour meurtre et incitation à la violence, entre autres. Les avocats de l’ancien président ont confié à Amnesty International qu’ils n’avaient pas pu s’entretenir avec leur client avant l’audience et qu’ils n’avaient été autorisés à consulter des documents essentiels qu’en dernière minute.