Selon une déclaration d’Amnesty International en date du 24 juillet, le décès d’Omar Suleiman, ancien chef des services de renseignement égyptiens, survenu la semaine dernière, doit inciter les autorités égyptiennes à faire en sorte que les responsables de violations des droits humains commises au cours du programme de « restitutions » à l’Égypte, dans les années 2000, soient amenés à rendre des comptes. Elles ne doivent pas tourner la page sur cet épisode.