Amnesty International et WASH United constatent avec une vive inquiétude que le projet de déclaration ministérielle du 6e Forum mondial de l’eau en date du 7 février 2012 n’engage pas les États à mettre en œuvre les droits fondamentaux à l’eau et à l’assainissement. Il évoque la reconnaissance des droits à l’eau et à l’assainissement par l’Assemblée générale des Nations unies et le Conseil des droits de l’homme, mais ne la réaffirme pas.