En février 2012, l’ONU adoptait une résolution qui instaurait un processus intergouvernemental sans durée déterminée devant servir de cadre à des discussions ouvertes, transparentes et approfondies sur les moyens de renforcer le système de suivi des traités. Cette résolution faisait peu de place aux organisations non gouvernementales (ONG). L’idée qui sous-tend les quatre recommandations faites ici par Amnesty International est que les ONG, qui jouent déjà un rôle primordial dans l’élaboration de traités ainsi que dans le travail qu’elles accomplissent, ont aussi un rôle clé à jouer dans les efforts qui sont faits pour renforcer les organes de suivi des traités.