Depuis juillet, Amnesty International a reçu des informations selon lesquelles au moins quatre détenus, dont un mineur, auraient été de nouveau maltraités par des membres des forces de l’ordre, des agents de sécurité et des membres du personnel pénitentiaire. Ils avaient auparavant tenté de dénoncer des mauvais traitements qu’ils avaient subis ou dont ils avaient été témoins.