Amnesty International s’inquiète des informations qui lui sont parvenues concernant un militant de la société civile, Magomed Khazbiev et ses deux frères, Mourad et Berd, qui auraient été frappés et placés en détention illégale peu après la dispersion d’une manifestation spontanée contre les disparitions forcées le 23 mars, vers midi, à Nazran, en Ingouchie.