Italie. L’impunité pour les violations commises lors du sommet du G8 à Gênes en 2001 noircit de façon intolérable le bilan de l’Italie en matière de droits humains

À l’occasion du dixième anniversaire du sommet du G8 à Gênes en 2001, Amnesty International regrette d’avoir à renouveler une fois de plus son appel en faveur du respect de l’obligation de rendre des comptes quant aux atteintes aux droits humains commises à l’époque par les forces de l’ordre et fait part de sa crainte que l’absence de solution apportée pour combler les lacunes structurelles sur les plans juridique et institutionnel n’entraîne l’impunité. L’impunité pour des violations telles que celles commises pendant ce sommet noircit de façon intolérable le bilan de l’Italie en matière de droits humains.

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