Nandini Herat a été libérée sous caution le 13 septembre. Toutefois, les policiers du poste de Wariyapola inculpés de l’avoir torturée n’ont été ni transférés, ni suspendus de leurs fonctions, et on craint toujours qu’il ne tentent de l’intimider, de même que les autres personnes impliquées dans cette affaire.