Il semble que la plupart des personnes arrêtées à la suite des homicides dont ont été victimes deux policiers et un agent de sécurité, dans la province de Papouasie, aient été relâchées. La police a toutefois refusé d’indiquer à des observateurs chargés de veiller au respect des droits humains si toutes avaient été libérées. Par ailleurs, un défenseur des droits humains de premier plan a été arrêté aux fins d’interrogatoire, après avoir critiqué le comportement des forces de sécurité au cours des opérations menées en vue de découvrir les responsables de ces homicides.