Quelque 99 Papous, parmi lesquels une cinquantaine d’étudiants, ont été arrêtés et certains d’entre eux torturés au cours de ce qui s’apparente à des représailles pour l’homicide dont ont été victimes au moins deux policiers. Amnesty International pense que les personnes détenues sont en danger et risquent d’être torturées ou maltraitées.