Les autorités indonésiennes doivent s’attaquer aux problèmes relatifs aux droits humains profondément ancrés, notamment aux violations persistantes de ces droits par les forces de sécurité, aux restrictions imposées à la liberté d’expression et à la liberté de religion, ainsi qu’à l’absence de justice, de vérité et de réparations pour les atteintes commises par le passé, a déclaré Amnesty International en amont de l’examen consacré à l’Indonésie par le Comité des droits de l’hommes des Nations unies à Genève, les 10 et 11 juillet.