La détention arbitraire et les mauvais traitements infligés par l’armée fidjienne le 4 novembre 2009 au professeur d’université australien Brij Lal, d’origine fidjienne, s’inscrivent dans le cadre de la répression qui s’efforce actuellement de faire taire les détracteurs du régime et d’étouffer toute activité d’opposition pacifique.