La confirmation du décès en détention d’un mineur arrêté en novembre 2016 dans le nord de l’État d’Arakan dans le cadre d’« opérations de nettoyage » accroît les craintes pour la sécurité de centaines d’hommes et de garçons rohingyas détenus. Toutes ces personnes risquent toujours d’être torturées ou maltraitées et de faire l’objet de procès iniques.