Au moins 130 000 personnes continuent à être privées de services humanitaires essentiels, plus de deux mois après que les autorités du Myanmar ont lancé de vastes opérations de sécurité dans le nord de l’État d’Arakan. Les Nations unies ont indiqué que des vies seront menacées si le gouvernement n’agit pas immédiatement pour permettre aux organisations d’aide humanitaire de se rendre auprès des populations concernées.