Les services de base ont été retirés du centre de détention de l’île de Manus le 31 octobre, ce qui suscite de graves inquiétudes pour la santé et la sécurité de centaines de réfugiés. En plus d’avoir un accès limité à la nourriture, à l’eau, à l’électricité et aux soins médicaux, ces réfugiés et demandeurs d’asile sont exposés à des violences de la part de la population locale et des forces de sécurité de Papouasie-Nouvelle-Guinée.