Le 29 novembre 1999, Nery Rodenas Paredes, directeur de l’Oficina de Derechos Humanos del Arzobispado de Guatemala, a reçu un appel téléphonique au cours duquel on lui a dit qu’il allait mourir. Amnesty International est vivement préoccupée par la sécurité de cet homme, ainsi que de toutes les personnes ayant contribué au projet de « récupération de la mémoire collective » (REMHI) de l’Église guatémaltèque. L’Organisation est également inquiète pour toutes les personnes impliquées dans l’enquête menée sur le meurtre de Mgr Juan José Gerardi Conedera.