Amnesty International a appris que le nom de Mayra Angelina Gutiérrez Hernández, qui n’a pas été revue depuis le 7 avril 2000, figurait dans une base de données des services de renseignements de l’armée. Ces informations renforcent les craintes de l’Organisation, qui redoute qu’elle n’ait été victime d’une ” disparition” motivée par des considérations politiques.