Ciro Guzmán Aldas, Luis Villacis Maldonado et José Chávez ont été arrêtés par les forces de sécurité le 15 janvier 2000, uniquement, semble-t-il, pour avoir réclamé la démission du président Jamil Mahual, au vu de la crise économique que traverse l’Équateur. Amnesty International estime qu’ils pourraient être des prisonniers d’opinion, et elle s’inquiète vivement pour leur sécurité; elle craint notamment qu’ils ne soient torturés ou soumis à d’autres formes de mauvais traitements.