Chili. La réponse à l’urgence humanitaire doit se fonder sur le respect et la pérennité des droits humains

Amnesty International demande au gouvernement chilien de protéger les droits fondamentaux des personnes touchées par le tremblement de terre dévastateur qui a frappé le pays le samedi 27 février, et de continuer à porter une attention soutenue aux besoins des personnes les plus vulnérables. Le dimanche 28 février, le gouvernement chilien a instauré l’«état de catastrophe», actuellement en vigueur dans six des 15 régions du pays.

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