Amnesty International a sollicité ce vendredi 9 janvier 2009 la libération immédiate et sans condition de neuf hommes condamnés le 7 janvier à une peine de huit ans d’emprisonnement pour « conduite indécente et actes contre nature et association de malfaiteurs ». L’organisation les considère comme des prisonniers d’opinion, condamnés uniquement en raison de leur comportement sexuel présumé.