Des militants politiques, en particulier ceux qui soutiennent le principal parti d’opposition zimbabwéen, et d’autres habitants de la circonscription de Bindura, située dans la province du Mashonaland-Centre, sont pris pour cibles à l’approche d’une élection législative partielle prévue les 28 et 29 juillet. Amnesty International est préoccupée par leur sécurité.