Le 23 novembre, des personnes incarcérées à la prison de Beyla, à Nouakchott, la capitale, au nombre de 15 ou peut-être davantage, ont été inculpées de crimes contre la sûreté de l’État. Les autorités judiciaires ont annoncé que leur procès se tiendrait sous peu. Selon les informations reçues, il pourrait se dérouler le 1er décembre. Les détenus risquent d’être condamnés à une peine de travaux forcés à perpétuité.