Quatre membres du Parti démocratique éthiopien (PDE) qui avaient été libérés ont été de nouveau arrêtés le 24 juin. Amnesty International est préoccupée par leur état de santé, qui s’était déjà dégradé à la suite de leur précédente interpellation. Jusqu’à présent, ils n’ont pu entrer en contact avec leur famille ni consulter des avocats.