Au moins 20 personnes, et peut-être beaucoup plus, auraient été exécutées sommairement ou soumises à des atteintes aux droits humains à la suite du coup d’état manqué à Bangui, la capitale du pays. De nombreuses personnes, parmi lesquelles Maxime Koko, ont « disparu » et risquent d’être victimes d’une exécution extrajudiciaire. D’autres, dont Jean-Pierre Gueret, ont été placées dans des centres de détention et risquent d’être torturées ou maltraitées. Amnesty International est vivement préoccupée par la sécurité de ces personnes.