La criminalisation de certains aspects du travail du sexe exposait les travailleuses et travailleurs de ce secteur à un risque plus élevé de subir des violences. Le Comité des droits de l’homme [ONU] a identifié des lacunes dans les programmes de réparation offerts aux femmes et aux enfants ayant résidé ou été internés dans des institutions financées par les pouvoirs publics, ainsi qu’aux femmes ayant subi des interventions chirurgicales sans leur consentement éclairé durant leur accouchement. L’accès à un logement décent, notamment pour les réfugié·e·s ukrainiens et d’autres nationalités, restait un sujet de préoccupation. La volonté des autorités d’utiliser la reconnaissance faciale à des fins de maintien de l’ordre dans les espaces publics a soulevé des objections.
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