Les réfugié·e·s ukrainiens étaient en butte à des discours haineux, des actes de discrimination et de harcèlement et des crimes motivés par la haine, sur fond de tensions économiques et politiques croissantes. Les récentes avancées vers l’adoption d’une définition du viol fondée sur la notion de consentement étaient insuffisantes. Les enfants roms étaient toujours soumis à une ségrégation de fait dans le système éducatif. Les couples de même sexe n’avaient pas le droit de se marier. La stérilisation restait obligatoire pour les personnes transgenres souhaitant faire reconnaître leur identité de genre à l’état civil. Il a été révélé que la police expérimentait la reconnaissance faciale. Les politiques d’action pour le climat demeuraient insuffisantes.
Lire la suiteLa législation ne prévoit pas la peine de mort
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