La réponse des autorités russes, qui ont rejeté les conclusions publiées par Amnesty International dans son récent rapport sur les frappes russes en Syrie, n’a pas opposé de véritables arguments aux éléments attestant que ces attaques bafouaient les lois de la guerre, a déclaré Amnesty International vendredi 29 janvier 2016. Elles ont fait des déclarations généralistes, niant en bloc les éléments recueillis et portant de fausses accusations de partialité.