RDC: Déclaration d’Amnesty International à la 34e session du Conseil des droits de l’homme des Nations unies (27 février – 24 mars 2017)

Depuis 2015, nous avons documenté les violations systématiques de droits humains et les crimes de droit international commis en lien avec le terme du deuxième mandat du président Kabila, qui selon la Constitution n’a pas le droit de se représenter. Amnesty International a établi que les forces de sécurité avaient eu recours à une force disproportionnée, excessive et létale face à des manifestations.

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