Amnesty International saisit l’occasion d’adresser une communication au Comité des Nations unies contre la torture (CAT). Dans cette communication, Amnesty International exprime son inquiétude concernant la flagellation d’un enfant et le recours illégal à la peine de mort au regard de la Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants (« Convention contre la torture »). Cette communication ne constitue pas un compte rendu exhaustif des préoccupations de l’organisation.