Algérie. Il faut libérer un militant Amazigh emprisonné pour avoir exercé sa liberté d’opinion

Le 11 novembre, le tribunal de Khenchela (dans l’est de l’Algérie) examinera l’appel du militant Yacine Mebarki à la suite de sa condamnation le 8 octobre à dix ans d’emprisonnement et une amende de 10 millions de dinars (environ 65 450 euros) – la plus lourde peine jamais prononcée à l’encontre d’un militant en raison d’opinions exprimées sur Internet. Les autorités algériennes doivent libérer Yacine Mebarki et abandonner les poursuites sans fondement liées à ses publications en ligne et d’autres accusations découlant simplement de l’exercice de sa liberté d’expression et de conscience, ont déclaré les signataires de la présente déclaration.

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