Les recherches menées par Amnesty International sur le recours à la peine de mort en 2018 ont confirmé que ce châtiment a été prononcé et appliqué dans une minorité de pays. Le nombre d’exécutions connues a chuté de plus de 30 % par rapport à 2017, et il est le plus faible enregistré par l’organisation au cours de la dernière décennie. Cette baisse reflète les fortes diminutions observées dans certains des pays qui recourent le plus à cette peine, comme l’Iran, l’Irak, le Pakistan et la Somalie.