La bibliothécaire Natalia Charina se trouve en résidence surveillée depuis le 30 octobre 2015, lorsque des « ouvrages extrémistes » ont été retrouvés dans la bibliothèque où elle travaille. Elle a été inculpée d’une nouvelle infraction le 5 avril, ce qui permet aux autorités de prolonger son placement en résidence surveillée pendant un an. Amnesty International la considère comme une prisonnière d’opinion.