Bien qu’il existe de solides informations publiques prouvant que des migrants, des réfugiés et des demandeurs d’asile demeurent victimes de graves violations en Libye, l’Italie a signé le 3 avril un nouvel accord relatif au contrôle de l’immigration avec le pays. Amnesty International a demandé à plusieurs reprises aux autorités italiennes de rendre public cet accord, en vain. On en connaît aujourd’hui le contenu.