Un très grand nombre de personnes sont toujours détenues au Nicaragua, plus d’un an après le début de la crise des droits humains. Amnesty International appelle les autorités nicaraguayennes à libérer immédiatement toutes les personnes privées de liberté uniquement pour avoir exercé pacifiquement leur droit à la liberté d’expression et de réunion pacifique, et à abandonner toutes les charges retenues contre elles.