Ce rapport établi conjointement par la Commission nationale des droits humains des gays et des lesbiennes (NGLHRC) et Amnesty International contient des informations sur la situation extrêmement dangereuse liée aux crimes de haine, à la discrimination et aux autres atteintes aux droits humains vécue par les personnes réfugiées ou demandeuses d’asile appartenant à la communauté LGBTI (lesbiennes, gays et personnes bisexuelles, transgenres et intersexes) au Kenya, en particulier celles vivant dans le camp pour personnes réfugiées de Kakuma, entre 2018 et février 2023.