Un professeur de droit est détenu au secret depuis le 5 décembre à Riyadh, la capitale de l’Arabie saoudite. Il risque de subir des actes de torture et d’autres formes de mauvais traitements. Amnesty International craint qu’il ne soit détenu uniquement pour avoir exercé pacifiquement son droit à la liberté d’expression, ce qui ferait de lui un prisonnier d’opinion.