Des organisations égyptiennes de défense des droits humains ont été informées qu’elles risquaient fermeture et poursuites pénales, alors qu’approche la date limite fixée par le gouvernement pour leur enregistrement en vertu de la loi sur les associations. Les autorités ont par ailleurs proposé un projet de loi qui compromettrait l’indépendance des organisations non gouvernementales (ONG) et les soumettrait à de nouvelles restrictions écrasantes.