Le 10 avril 2000, le tribunal pénal du Caire a condamné à mort Gamal Muhammad Amin et son amie Afaf Ismail Muhammad. Leurs sentences capitales ayant d’ores et déjà été approuvées par le Mufti, plus haute autorité religieuse du pays, leur dernier espoir réside désormais dans la clémence du président égyptien, auquel leurs condamnations ont été transmises pour ratification.