Égypte. Enterrés vivants. Délaissés et piégés par la pauvreté dans les bidonvilles du Caire

Le 6 septembre 2008, plus d’une centaine d’habitants du quartier informel d’Ezbet Bekhit ont été tués par un éboulement. Un an plus tard, dans la quasi-impossibilité de trouver un logement à des prix abordables, ces personnes qui souffrent d’une extrême pauvreté vivent toujours dans des zones à risque où leurs droits à la santé et à la vie sont menacés. Dans ce rapport, Amnesty International prie les autorités égyptiennes d’élaborer un plan global pour la protection des droits à la vie, à la santé et à un logement convenable dont doivent pouvoir jouir les habitants des zones dangereuses.

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