Sur fond de tensions politiques persistantes et alors que les manifestations d’opposition se poursuivent, les autorités auraient eu recours pour la seconde fois en deux mois à une force excessive pour disperser des manifestants. Amnesty International demande instamment au gouvernement géorgien de veiller à ce que les agents de la force publique agissent conformément aux normes internationales dans les opérations de maintien de l’ordre. Plusieurs manifestants, arrêtés récemment, affirment également avoir été frappés et soumis à de mauvais traitements lors de leur détention.