Amnesty International a appris que Selahattin Bayram et Cemile Durmaz, qui étaient détenus au siège de la police de Diyarbakir, avaient été relâchés le 4 décembre 2000. Ils étaient maintenus en garde à vue depuis le 26 novembre, date à laquelle ils avaient été arrêtés parce qu’ils étaient soupçonnés d’avoir prêté assistance au groupe armé d’opposition Partiya Karkeren Kurdistan (PKK, Parti des travailleurs du Kurdistan).