Amnesty International demeure préoccupée par les atteintes aux droits humains commises en Ossétie du Sud et dans la « zone tampon » adjacente sous contrôle des forces armées russes. Ces violences affectent le sort de tous ceux qui habitent encore dans ces territoires et portent atteinte au droit au retour des Géorgiens de souche qui ont fui leur foyer et sont toujours déplacés.