D’après les informations recueillies, la police a fait un usage abusif de la force à Tegucigalpa, la capitale du Honduras, contre des manifestants qui protestaient contre le meurtre de Carlos Roberto Flores, et blessé au moins 30 personnes. Amnesty International est préoccupée par la sécurité des quelque 300 contestataires qui poursuivent leur manifestation silencieuse devant le bâtiment du Congreso Nacional (Congrès national).