Les personnes nommées ci-dessus ont été arrêtées par les forces de sécurité soudanaises et sont actuellement détenues au
secret. À la connaissance d’Amnesty International, elles n’ont été inculpées d’aucune infraction. Elles risquent d’être soumises à la
torture ou à d’autres formes de mauvais traitements. L’organisation sait qu’au moins une de ces personnes, le professeur El Amin Mohamed Osman, présente de graves problèmes de santé.