Les trois membres d’un parti d’opposition mentionnés ci-dessus ont été condamnés à cinq ans d’emprisonnement le 14 juin après avoir été reconnus coupables de complot en vue de commettre des actes de sabotage et de terrorisme. Amnesty International pense que ces accusations étaient sans fondement et elle considère que ces trois hommes sont des prisonniers d’opinion incarcérés uniquement pour avoir exercé leurs activités politiques de manière non violente.