Les enseignants et élèves de l’enseignement secondaire ont été arrêtés à la suite de manifestations contre le gouvernement régional oromo qui ont eu lieu dans l’ouest de l’Éthiopie et au cours desquelles la police a frappé et tiré sur la foule. Ces personnes sont détenues au secret sans avoir été inculpées. Amnesty International craint qu’elles n’aient été arrêtées uniquement pour avoir exprimé de manière non violente leurs opinions et qu’elles ne soient torturées ou maltraitées.